La Vie Immédiate

La Vie Immédiate

Pour tout dire ou rien

Je suis un nu au visage caché

Qui ne veut pas prendre froid

Ici

Le poumon de mes pensées cerfs-volants

Asphyxié sous la poussière d'une âme en demi-teinte

L'ataraxie cette inconnue

Fait grands signes de sa main charmante

Mais

Je suis une femme sous influence

Mon propre piège

La rue sous le soleil descendant est animée

Une foule de mots

La solitude est heureuse au sein de l'afflux

 

Et si le paradis c'était les Autres ?

 



19/09/2007
3 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour